L'occupation allemande essaie en 1943 d'imposer
à Albert-Victor Raymond la fabrication d’articles de guerre pour son armée. S'engage alors une "course à la lenteur"
telle qu'il tient sans produire jusqu'à la Libération !
Les industries du textile et du cuir sont les principaux marchés de l'usine grenobloise qui emploie 700 personnes.
En Allemagne, on travaille déjà pour le marché automobile renaissant. L'usine de Lörrach emploie 130 personnes.
Les sociétés A.Raymond sont parmi les premières en Europe à s'équiper de presses à injection : une stratégie qui leur permet de se positionner très tôt comme leader dans la fabrication de pièces de fixation en plastique.
Début dans l'entreprise familiale à 26 ans,
aux côtés de son père Albert-Victor Raymond.
Sous l'impulsion d'Alain Raymond, de grandes réformes voient le jour : comptabilité analytique, informatique, gestion de production, nouvelles technologies (techniques de trempe, traitement de surface, dépollution des eaux).
Création des Bureaux d'Etudes français et allemand.